Les robots chirurgicaux ont le vent en poupe, malgré des débats non tranchés sur leur valeur ajoutée par rapport à leurs coûts encore élevés dus à une concurrence limitée. On fait de la chirurgie mini-invasive depuis 20 ans, mais il nous manquait cette technologie (...) qui va nous aider à avoir accès à un organe situé en profondeur, loin de nos yeux", explique à l'AFP le professeur Alaa El Ghoneimi, chef du service de chirurgie viscérale et urologie pédiatriques de l'hôpital Robert-Debré AP-HP.
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