Au bout de sept ans, on constate que les patients du groupe des opérés voient leur mortalité réduite de 36 %. “C’est une baisse significative dans cette population de patients dont on sait que l'espérance de vie est diminuée par rapport à des personnes qui font un poids standard. La mortalité est d’ordinaire plus forte chez les personnes obèses sévères, car elles accumulent toute une série de complications comme le diabète, l’apnée du sommeil ou des pathologies cardio-vasculaires” détaille le professeur Sébastien Czernikow, co-auteur de l'étude et chef du service de nutrition à l'hôpital HEGP AP-HP.
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